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Une jeune femme sur deux Dans une autre étude nationale américaine menée en 2008, des chercheurs de l'université d'Indiana avaient retrouvé une pratique de l'épilation intégrale déjà largement adoptée par les plus jeunes générations. La moitié des jeunes femmes âgées de 18 à 24 ans avaient au moins une fois rasé intégralement leur pubis au cours du mois écoulé (contre une quarantenaire sur quatre) et une sur cinq pouvait être considérée comme constamment épilée intégralement (une quarantenaire sur dix). Dans ce travail qui ne portait pas sur un échantillon représentatif de la population, le Pr Debra Herbenick et ses collègues remarquaient que les femmes qui adoptaient l'épilation intégrale "étaient souvent plus jeunes, plus enclines à recevoir des cunnilingus et avaient une meilleure image de leur sexe que les autres". Cette fois, l'étude de San Francisco ne retrouve pas d'impact des pratiques sexuelles orales sur le fait d'opter ou non pour l'intégrale mais confirme la popularité de la fréquence chez les plus jeunes. Les auteurs montrent que la principale motivation n'est pas d'accroître l'attractivité présumée de la vulve (c'est le troisième motif, évoqué par 31% des femmes) mais avant tout hygiénique (59%) bien que l'intérêt soit contesté par les médecins (ce serait même plutôt l'inverse!) ou par routine (45%). À noter que 21% citent aussi les préférences du ou de la partenaire (l'orientation sexuelle n'a pas d'influence dans cette étude). Sexe, vacances etvisite chez le gynéco! Comme l'épilation intime, plus ou moins complète, est occasionnelle pour beaucoup de femmes (hebdomadaire ou mensuelle), les chercheurs leur ont demandé quelles étaient les principales situations pour la faire. Si le sexe sort en tête (55%), les vacances viennent ensuite (45%) devant...la consultation d'un gynécologue (40%). Preuve que la norme invisible qui associe les poils au manque d'hygiène ou à la négligence s'est largement imposée même si une majorité de femmes et d'hommes considèrent encore que la pilosité pubienne est une affaire privée. Quoi qu'il en soit, depuis que Gilette a lancé le premier rasoir pour femme, il y a plus d'un siècle, le tsunami dépilatoire qui a commencé par les aisselles et les jambes est désormais arrivé au plus intime des femmes. Damien Mascret www.lefigaro.fr |
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